Radio Star 2001 : T'as voulu voir Vesoul
J'ai travaillé pour Stéphane Rogne en 2001, en tant qu'animateur sur Radio Star, à Vesoul.
J'étais à ce moment-là dans un pic dramatique de dépression. J'ai accepté tout de même de partir de Paris, où je travaillais pour Yacast, pour aller travailler à Vesoul, un coin perdu. Pas désagréable mais perdu. Spécialement dangereux pour quelqu'un de fragile. Ce que je ne savais pas, c'est que le danger ne venait pas de cette préfecture tranquille et vide mais du vautour qui m'y avait attiré.
Ceci étant dit, j'ai encaissé les vannes, les rumeurs, les propos diffamatoires et la "beaufitude" de Stéphane Rogne. Pas un enfoiré sur tout, mais un enfoiré sur trop de choses. Et surtout, un individu dangereux dans son comportement et sociopathe. Et parfois, simplement un gros con.
Que je sois hospitalisé l'a fait rire, à tel point qu'il a transmis mon dossier médical à un autre grand sociopathe de la radio : Frédéric Rousseau, Cocktail FM Deauville, qui m'a, à mon grand regret, employé aussi plus tard. Non seulement ça l'a fait rire mais il a cru bon de fantasmer et de créer des choses qui n'existent pas : j'aurais fait un malaise dans sa radio, mensonge. Mensonge et dossier médical transmis dans un dossier de prud'hommes par lequel j'attaquais le dit-Frédéric Rousseau en 2003.
Stéphane Rogne a aimé aussi harcelé un autre employé de Radio Star à l'époque, un animateur et chef des programmes, greffé du coeur, des poumons, etc. Lorsque celui-ci s'est mis en arrêt de travail, Stéphane a affiché l'arrêt de travail sur le panneau de la radio en inscrivant en-dessous "Mort". Mais pourquoi tant de haine ? L'animateur en question était en conflit avec lui (violation du contrat de travail, mise au placard) et aussi, Stéphane Rogne lui reprochait d'avoir (?) volé sa petite amie.
Classieux, n'est-il pas ?
En été 2001, au summum de sa forme, Rogne me licencie en plein arrêt de travail (un classique dans ce milieu).
Pour me reprendre en CDD à la rentrée. Stéphane, un homme stable mentalement.
A la fin du CDD, je lui dis au revoir car la compagnie des orangs-outans aggrave mes ennuis déjà assez lourds à gérer.
Radio Scoop 2004 : Rassurez-vous Madame Bourdelle, c'est français, c'est la police française
Mais pour Stéphane, l'histoire n'est pas finie. Il continue jusqu'en 2010 à venir me chercher, certainement mu par un manque d'activité, un ennui abyssal, une absence d'activité sexuelle, comment savoir ?
En 2004, il appelle Laurent Ripoll, Chef d'antenne de Radio Scoop à Lyon, où j'ai retrouvé du travail et où j'essaie tant bien que mal de retrouver mes esprits avec 1200 € par mois sans contrat de travail, sur le morning du réseau et sur une radio de 400 000 auditeurs avec 16 ans d'expérience...
Stéphane Rogne dit à Laurent Ripoll que, je cite, je suis "recherché par les impôts" et que j'ai été "interné dans un hôpital psychiatrique". Mon chef d'antenne me convoque, avec une tête d'enterrement (Laurent Ripoll ayant par ailleurs une tête d'enterrement en permanence, sûrement un effet de sa sexualité complexe - là encore - et mal assumée, peut-être, ou bien encore le fait qu'à côté de la radio, il n'a pas de vie). Laurent me demande des explications. Je lui réponds que :
1. Ca ne le regarde pas.
2. Mais puisqu'un désaxé mental me poursuit depuis des années, je vais répondre à ses questions : "Non, je ne suis pas recherché par le Trésor public, Laurent, j'ai juste une dette envers eux" (que je m'emploie à payer, difficilement avec 1200 € par mois, il faut le reconnaître). Deuxième point : "non, Laurent, je n'ai pas été interné en hôpital psychiatrique". C'est Stéphane Rogne qui en aurait besoin.
J'ajoute que tout ça est très grave, que ce serait très grave même si c'était vrai puisqu'il s'agit d'une atteinte à la vie privée, réprimée par le Code pénal. Mais Laurent, mon supérieur, n'a pas l'air d'être ému plus que ça par ce que je lui dis. Ni même n'a l'idée éventuellement de défendre son employé contre les agissement délictueux d'un mec qu'il ne connaît même pas et qui va forcément le perturber gravement dans son travail.
De fait, inutile de dire qu'après cet événement, j'étais "en pleine forme" pour faire mon travail (10 heures par jour payées 3). D'autant que Monsieur Daniel Perez, Président de Radio Scoop, avec l'intelligence qu'on lui connaît, a ponctionné 300 € par mois, pendant 4 mois, sur mon salaire de 1200 € pour rembourser le Trésor public, qui par ailleurs a récupéré cet argent de manière totalement illégale.
Me restait donc par mois pour vivre : 900 €. Avec un loyer de 650 €. Dont Monsieur Perez (grand malheur), s'était porté garant. Daniel Perez donc, savait que j'allais me retrouver dans une situation impossible financièrement, et que c'est lui qui allait en payer les pots cassés en tant que garant de mon loyer, et en tant que patron avec un employé démoli sur les bras, mais il m'a quand même vendu au Trésor public.
Sur ce point, 9 ans plus tard, je n'ai toujours pas compris comment on peut être aussi... comment dire..?
MFM Radio 2010 : Les corbeaux boivent le thé au CSA
Je termine avec 2010 et MFM (sans compter les messages anonymes sur Radioactu de Stéphane bien entendu, j'y reviendrai plus tard).
Depuis août 2004, je suis animateur sur MFM à Paris. Pendant la période trouble de la reprise de MFM Radio par Espace Group en 2010, je suis amené à me battre avec les délégués du personnel pour éviter que Monsieur Christophe Mahé, PDG d'Espace Group, ne catapulte tous les membres du personnel parisien comme des chiens avec le minimum d'égard.
Matthieu Blaise, délégué du personnel, et Stéphane Dolly, Directeur artistique, m'apprennent que Monsieur Mahé a, parmi ses premiers objectifs, selon ses propres termes : "se faire Vigliano" (moi, pauvre de moi).
Plus tard, j'apprends par Karine Fouilleron, DRH, que Jean-Bruno Michaud, ex-DG de MFM Radio, s'est présenté un soir pour prendre "tout mon dossier". Ca ne dérange pas Monsieur Michaud de mettre les pieds illégalement dans une société à laquelle il n'appartient pas et de prendre possession de documents me concernant, dans la plus parfaite illégalité. Il est vrai que Monsieur Michaud n'en est pas à son premier fait d'armes, ayant été déjà condamné par la justice pour malversations financières au sein du groupe NRJ. Ca n'a pas dérangé non plus Monsieur Michaud de me laisser au placard entre 5 et 7 le matin le week end pendant 3 ans et de voir ma santé se détruire semaine après semaine. Il a même souri à l'évocation de l'Inspection du travail. Un peu comme les mafieux le font quand on leur parle de la justice ou de la police. Mais ceci est une autre histoire.
Et enfin, toujours par Matthieu Blaise, DP, j'apprends, - le revoilà ! - que Stéphane Rogne, pendant une visite au CSA à Paris, a rencontré Christophe Mahé (le PDG d'Espace Group, rien à voir avec le chanteur) et que Stéphane Rogne le sociopathe beauf gros con lui aurait encore raconté tout et n'importe quoi sur moi.
Stéphane, merci pour l'ensemble de ton oeuvre, qui j'en suis sûr, perdure encore. J'espère que tous les gens qui bossent avec toi ont mis leur ceinture de sécurité.
On se retrouvera, tôt ou tard, devant un juge, et crois-moi, tu vas payer et réparer. Devant la justice. Pas à la mafieuse, comme tu sais faire.