9 septembre 2014
Deux jours avant l'audience au Tribunal administratif, Pôle Emploi m'indique sur mon profil personnel en ligne que j'ai été ré-intégré à la date du 7 août 2014 (date de ma radiation illégale), m'adresse un courrier et m'informe que le paiement du mois de septembre 2014 a été fait. L'argent est déjà sur mon compte, sans actualisation.
C'est une victoire, une belle victoire pour moi, une de plus après les deux prud'hommes contre MFM Radio / LV & Co (demi-victoire) et Parenthèse Radio / SOFISA, et cette fois, acquise au carburant de ma rage, sans avocat.
Le 11 septembre, je me rendrai tout de même au Tribunal administratif, afin de mener les deux procédures à leur terme. J'irai sans avocat, puisque celui-ci, contacté par ma garantie juridique, n'a toujours donné aucun signe de vie, 14 jours après la remise en main propre par mes soins du dossier complet...
Par cette nouvelle victoire, je suis heureux de montrer publiquement que lorsqu'on a la force de dire non, on peut forcer l'hydre administrative à marcher droit.
Je veux dire aussi à tous ceux qui m'ont raillé ou à tous les psy (les psy dépressifs, pas les autres) ou donneurs de conseils demeurés, que je maîtrise ce que je fais. Mener une action du début à la fin, avec des objectifs établis et pour une raison claire et juste, n'a rien à voir avec un comportement obsessionnel.
Je veux leur dire aussi que ces victoires pour défendre mes droits et mon honneur sont le meilleur des antidépresseurs. Quand cette société aura compris ça, pour moi et pour des milliers d'autres, la Sécurité sociale pourra combler son déficit et la police s'occuper des criminels, pas des gens en souffrance. Et les psy cesser d'inventer des explications psychanalytiques s'appuyant sur rien.
Je me bats globalement pour mes droits et ces droits ont été bafoués. Ils n'ont pas été bafoués parce que j'ai cherché les emmerdes mais parce que des gens ne veulent pas respecter les règles.
La résistance continue. Dans cette affaire, le 11 septembre au Tribunal administratif de Paris et dans les autres, par diverses procédures légales, médiatisations et l'aide des internautes me faisant l'amitié de relayer mon combat. Merci.
Jérôme Vigliano.