Mes commentaires sur cette réponse.
1. Bien entendu, premier "problème" : les délais de réponse et de traitement.
J'ai adressé ma plainte le 20 février 2013 par courrier recommandé. Pour avoir les premières informations sur la procédure, j'ai donc du attendre 17 mois. 17 mois avec une lettre de rappel de ma part.
2. Le contenu.
Mon correspondant m'indique, au bout de 17 mois, que :
- ses services n'ont toujours pas la totalité du dossier
- pour les pièces transmises par le Procureur, le Défenseur des droits a du relancer celui-ci plusieurs fois.
Conclusion.
Comment peut-on penser qu'une enquête sérieuse (spécialement dans un milieu dans lequel évoluent des employés super-protégés du fait même de leur statut), comment peut-on espérer qu'une enquête sérieuse soit possible dans ces conditions ?
Comment peut-on espérer obtenir des réponses de témoins en les interrogeant sur un individu dont ils ne se souviendront pas et au sujet d'une affaire dont ils auront tout oublié ?
Comment une administration censée défendre les droits des citoyens peut-elle rester 17 mois (voire plus si je n'avais pas relancé) sans la moindre réaction à part un accusé de réception ?
En rappelant l'extrême gravité des accusations que j'ai portées.
17 mois plus tard, je n'ai aucune réponse sur le fond et d'autre part l'administration publique m'informe qu'elle n'est même pas encore en mesure d'étudier le dossier puisqu'il est incomplet.
Je termine avec une petite mention à l'attention des lourdaux qui se seront certainement gaussés de lire que j'ai fait un "séjour à l'infirmerie psychiatrique" de la préfecture de police". Je sais qu'il est inutile de tenter de les sortir de leur propre psychose, mais je leur explique quand même ce qu'ils ont du mal à comprendre, vu le niveau de leur intelligence.
Alors, à l'attention d'Olivier Leroux (MFM, ChanteFrance), Stéphane Rogne (Radio Star Bourgogne), Lionel Forey (FMC), Frédéric Rousseau (Cocktail FM), 4 hommes de radio qui, je le pense, ont de réels et graves problèmes psychiatriques et ne les assument pas jusqu'au jour où ils se feront pincer, voilà l'explication.
En garde à vue, on va à l'infirmerie psychiatrique, comme dans la vie on va à l'hôpital psychiatrique. Pas forcément parce qu'on est "fou" ou "un malade", selon les termes des tarés et des voyous que j'ai croisés dans la radio, mais parce qu'on est souffrant. Pas parce qu'on est "un malade" mais parce qu'on est "malade". De dépression, d'angoisses, d'anxiété, de troubles obsessionnels compulsifs. Comme on peut avoir un cancer, une grippe ou une jambe handicapée.
Ce qui n'a rien à voir avec le fait d'avoir un QI d'huître avariée, comme les lourdaux dont je parle. Ca c'est pas une maladie, c'est une tare.
Ce qui est drôle dans mon cas, c'est que je suis allé à l'infirmerie psychiatrique car je me sentais mal, du fait de mon syndrome dépressif, du fait des violations de mes droits subies et du fait de l'enfermement alors même que j'avais failli me faire assassiner par... deux addicts à la coke (qui eux ne sont pas allés à l'infirmerie psychiatrique, soit dit en passant...). Et que le médecin était désolé de me voir là car m'a-t-il dit, "Vous n'avez rien à faire ici, vous n'êtes pas fou. Par contre, si vous êtes dans un état de souffrance traumatique, je peux vous hospitaliser deux jours pour vous mettre loin de cette folie, vous avez besoin de calme". J'ai dit oui. Et le policier qui s'occupait de ma garde à vue, malgré l'avis du médecin, a refusé que j'aille à l'hôpital. Bon.
Dernier point, dernier régal de logique, il faut savoir, à ce sujet, que lorsque vous êtes en garde à vue et que vous vous plaignez de n'avoir pas la force morale de tenir en étant enfermé, enfermé dans 5 mètres carrés assis et allongés les uns sur les autres, parterre, dans une geôle pourrie et insalubre, là vous passez pour quelqu'un de pas normal, et donc, la police vous envoie comme un dingue à "l'infirmerie psy". C'est leur logique.
Par contre, quand vous arrivez à supporter cette merde, les quolibets, les cafards, la bouffe de merde, les insultes de la police, là, vous êtes considéré comme "normal". Je n'exagère rien, c'est clairement le système.
Voilà, c'était bien de terminer aujourd'hui par ça, car avec cette belle lettre au-dessus, nous avons deux preuves de la magnificence de la démocratie de la classieuse République française. Et de son implacable logique.