Ci-dessus le contenu des urines d'un de mes agresseurs : cocaïne, cannabis (en plus de l'alcool), sur la voie publique.
Et la Présidente du Tribunal correctionnel lui fait confiance quand il dit que moi je l'aurais agressé et pas le contraire.
Celle-ci, totalement décontractée et en balançant des blagues comme dans un one man show, a tout simplement appliqué la loi de la cour de récréation, en gros : "Je veux pas savoir qui a commencé, vous allez tous au coin" ; à l'école primaire ce serait déjà une décision d'irresponsable. Sauf que là c'est un tribunal correctionnel... Avec une magistrate qui effectue sa dernière journée et qui se dit qu'elle peut faire le show.
Voilà comment ça se passe dans un tribunal de la République : comme dans un sketch de Dany Boon.
Pendant ce temps, l'ami ou le cousin de Fouad, je sais plus, Salim Nait Mohand, voulait me tuer le 6 janvier 2013, a menti sous serment en prétendant que je l'avais frappé d'un coup de marteau, il continuait à vouloir me tuer le 14 juillet 2013 (devant trois policiers qui l'ont laissé repartir sans bouger) a tout cassé devant chez moi, et n'est toujours pas inquiété par la police et la justice.
Le délit commis par Salim Nait Mohand est prévu par le Code pénal, article 222-17 (menaces de mort réitérées).
Le délit commis par les policiers est prévu par le Code pénal, article 223-6 (omission de porter secours).
Nous avons tous pris 5 mois de prison avec sursis en première audience, puis la même chose en appel (moi, 3 au lieu de 5, quel bonheur), comme dans la cour de récré avec le maître d'école qui veut pas savoir qui a commencé et qui s'en lave les mains.
Mais moi je ne m'en lave pas les mains. J'ai été agressé, ils ont failli m'assassiner et personne ne me condamnera pour avoir défendu ma vie. Ce qui s'est passé ce jour-là s'appelle une tentative d'homicide et je vais déposer une plainte pour ce motif contre Samy Nait Mohand.
J'irai jusqu'au Conseil d'Etat et jusqu'en Cour européenne s'il le faut. Je ne suis pas un voyou et je ne frappe pas les gens sans la seule raison valable : éviter qu'ils me tuent.
D'autre part, cette procédure étant terminée, puisque mon avocate a commis l'erreur de ne pas m'informer du délai de cinq jours pour aller en cassation je vais déposer plainte contre les trois dégénérés qui ont affirmé que j'avais blessé leur voisin au marteau sur le petit doigt, pour dénonciation calomnieuse - dont Salim Nait Mohand (Code pénal 226-12).
J'ai le dossier de police, en tant que partie civile, et j'ai donc leurs identités, qui seront transmises au Procureur de la République en temps voulu.
J'adresserai aussi une requête au Conseil supérieur de la magistrature au sujet du comportement inapproprié d'un magistrat pendant la première audience.
Enfin, concernant les conditions de détention dignes d'un pays totalitaire et les multiples violations du Code de procédure pénale et de la Convention européenne des Droits de l'Homme, dont j'ai été victime (ainsi que mes agresseurs, d'ailleurs), j'ai prévenu le Défenseur des droits et déposé plainte par courrier recommandé auprès de l'Inspection générale de la police (police des polices), entre autres pour omission de porter secours, refus de soin, pression pour signer des documents, non-respect de la procédure légale de la garde à vue, refus d'entendre un témoin.
La plainte contre les policiers incriminés a été confirmée par mon audition et ma déposition enregistrée par le Capitaine Gargaud, dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale, le 30 décembre 2014.